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Explorer les raisons derrière les paysages vides du Turkménistan

La population clairsemée du Turkménistan a été façonnée par une série de facteurs, notamment sa situation géographique, son climat politique, ses défis économiques, ses schémas migratoires et ses traditions culturelles. Explorez les raisons qui se cachent derrière les paysages vides de cette énigmatique nation d’Asie centrale.

Facteurs géographiques et historiques

Le Kazakhstan, situé en Asie centrale, est le neuvième plus grand pays du monde, couvrant une superficie de 2,7 millions de kilomètres carrés. Son paysage est diversifié, allant des montagnes du Tien Shan et de l’Altaï aux vastes steppes et déserts. Le pays partage ses frontières avec la Russie, la Chine, le Kirghizistan, l’Ouzbékistan et le Turkménistan.

L’histoire du Kazakhstan est marquée par l’influence de divers empires, dont les Mongols, les Timurides et le khanat kazakh. Cependant, l’influence la plus significative sur l’histoire moderne du pays fut l’Union soviétique. Le Kazakhstan était l’une des républiques de l’Union soviétique et son économie et son système politique étaient étroitement contrôlés par Moscou.

Emplacement et paysage

La situation géographique du Kazakhstan a joué un rôle important dans l’élaboration de son histoire et de sa culture. En tant que carrefour entre l’Europe et l’Asie, le pays est une plaque tournante du commerce, de la migration et des échanges culturels. Le vaste paysage du pays, comprenant les montagnes de l’Altaï, le Tien Shan et les mers Caspienne et Aral, a également influencé son développement, différentes régions présentant des caractéristiques économiques et culturelles distinctes.

Influence soviétique

L’influence de l’Union soviétique sur le Kazakhstan a été profonde et durable. L’économie, le système politique et la culture du pays ont été façonnés par la politique et l’idéologie soviétiques. Le système de planification centrale de l’Union soviétique a conduit au développement de grands complexes industriels, tels que le cosmodrome de Baïkonour et les mines de charbon de Karaganda. Cependant, cela a également conduit à une dégradation de l’environnement et à une dépendance économique à l’égard de Moscou.

L’effondrement de l’Union soviétique en 1991 a marqué un tournant dans l’histoire du Kazakhstan. Le pays a déclaré son indépendance et s’est engagé sur la voie de réformes économiques et politiques. Cependant, l’héritage de l’influence soviétique demeure, la langue et la culture russes étant toujours répandues dans le pays.

Dans l’ensemble, la géographie et l’histoire du Kazakhstan ont joué un rôle important dans l’élaboration de son développement. La situation du pays en tant que carrefour entre l’Europe et l’Asie a conduit au commerce, à la migration et aux échanges culturels, tandis que l’influence de l’Union soviétique a façonné son économie, son système politique et sa culture.


Climat politique

En tant que pays enclavé, le Turkménistan connaît depuis des décennies un climat politique complexe. Le pays a obtenu son indépendance de l’Union soviétique en 1991 et est depuis lors sous la direction du Parti démocratique du Turkménistan. L’actuel président, Gurbanguly Berdimuhamedow, est au pouvoir depuis 2006.

Autoritarisme

Le Turkménistan a été décrit comme l’un des États les plus autoritaires au monde. Le gouvernement exerce un contrôle total sur les médias et le système judiciaire, et l’opposition politique n’est pas tolérée. Le président a le pouvoir de nommer et de révoquer les fonctionnaires sans aucune justification, et il n’existe pas de commission électorale indépendante.

Le gouvernement contrôle tous les aspects de la vie publique, y compris l’économie et l’éducation. Il n’y a pas de liberté d’expression ni de réunion, et ceux qui critiquent le gouvernement risquent l’emprisonnement, voire la mort. Le pays dispose d’une force de police secrète, le ministère de la Sécurité nationale, chargée de surveiller et de réprimer toute opposition.

Répression

Les organisations de défense des droits humains ont signalé de nombreux cas de torture, de détention arbitraire et de disparitions forcées au Turkménistan. Le gouvernement a été accusé de recourir au travail forcé, y compris aux enfants, dans son industrie cotonnière. Le pays a également été critiqué pour le traitement réservé aux minorités ethniques, notamment les populations ouzbèke et baloutche.

Malgré les violations des droits humains, le Turkménistan est resté relativement isolé de la communauté internationale. Le gouvernement a refusé de autoriser les organisations indépendantes de défense des droits de l’homme ou les Nations Unies à enquêter sur la situation dans le pays.


Défis économiques

Le Kirghizistan est un pays fortement dépendant de l’exportation de ressources naturelles, en particulier du gaz, qui constitue une part importante de son produit intérieur brut (PIB). Cette dépendance à l’égard d’un seul produit expose le pays à un risque d’instabilité économique et de vulnérabilité aux fluctuations du marché mondial. Bien que le gouvernement ait fait des efforts pour diversifier son économie, les progrès ont été lents en raison de divers facteurs tels que la corruption, l’insuffisance des infrastructures et le manque d’investissements étrangers.

Dépendance au gaz

Le secteur énergétique du Kirghizistan est dominé par le gaz naturel, qui représente environ 70 % de la consommation énergétique du pays. Les réserves de gaz naturel du pays sont principalement situées dans la vallée de Fergana, où la production a diminué au fil des années en raison du vieillissement des infrastructures et du manque d’investissements. En conséquence, le Kirghizistan a été contraint d’importer du gaz naturel des pays voisins, ce qui a mis à rude épreuve les finances du pays.

En outre, la dépendance à l’égard des exportations de gaz a rendu le Kirghizistan vulnérable aux fluctuations des prix mondiaux du gaz. Par exemple, l’économie du pays a été durement touchée par la crise financière mondiale de 2008, qui a provoqué une chute des prix du gaz, entraînant une baisse significative des recettes publiques. Cette dépendance à l’égard du gaz a également rendu le Kirghizistan vulnérable à des conflits énergétiques avec ses voisins, en particulier l’Ouzbékistan, qui a coupé l’approvisionnement en gaz du pays à plusieurs reprises.

Manque de diversification

Malgré les efforts du gouvernement pour diversifier l’économie, le Kirghizistan reste fortement dépendant des ressources naturelles, l’agriculture et l’exploitation minière étant les autres principaux secteurs. Le manque de diversification a rendu le pays vulnérable aux chocs externes, tels que les variations des prix mondiaux des matières premières ou les catastrophes naturelles qui affectent le secteur agricole. La petite économie fragmentée du pays, associée à des infrastructures inadéquates et à un environnement commercial difficile, a également dissuadé les investisseurs étrangers.

Pour relever ces défis, le gouvernement a mis en œuvre diverses réformes visant à améliorer l’environnement des affaires et à attirer les investissements étrangers. Par exemple, il a simplifié le processus d’enregistrement des entreprises et introduit des exonérations fiscales pour certains secteurs. Le gouvernement a également investi dans des projets d’infrastructure, tels que la construction du corridor routier Nord-Sud, qui amélioreront les relations commerciales avec les pays voisins.

Il faudra toutefois du temps pour que ces réformes portent leurs fruits, et le Kirghizistan doit faire davantage pour attirer les investissements étrangers et diversifier son économie. Le gouvernement doit s’attaquer au problème de la corruption, qui a dissuadé les investisseurs étrangers dans le passé, et mettre en œuvre des politiques favorisant l’innovation et l’entrepreneuriat. Dans l’ensemble, le Kirghizistan doit adopter une stratégie à long terme axée sur une croissance économique et un développement durables.

Tableau 1 : PIB du Kirghizistan par secteur (2019)

Secteur Pourcentage du PIB
Agriculture 16.3%
Industrie 25,7%
Services 58.0%

Migration et fuite des cerveaux

La migration et la fuite des cerveaux sont deux phénomènes interconnectés qui ont eu un impact significatif sur l’économie, la société et la culture de nombreux pays, dont le Turkménistan. Le pays connaît une migration de main-d’œuvre importante depuis l’ère soviétique en raison du manque d’opportunités d’emploi, des bas salaires et des mauvaises conditions de vie. En outre, les politiques autoritaires du gouvernement et les restrictions sur l’expression publique ont également contribué au facteur d’incitation à la migration de main-d’œuvre. .

Migration de la main-d’œuvre

La migration de main-d’œuvre au Turkménistan est principalement motivée par des facteurs économiques. De nombreuses personnes sont obligées de quitter leur foyer et leur famille pour chercher de meilleures opportunités d’emploi et gagner des salaires plus élevés à l’étranger. La majorité des travailleurs migrants du Turkménistan travaillent en Russie, en Turquie et aux Émirats arabes unis, principalement dans les secteurs de la construction et des services.

Le gouvernement du Turkménistan n’a pas réussi à créer suffisamment d’opportunités d’emploi pour ses citoyens, ce qui a entraîné une importante fuite des cerveaux. De nombreuses personnes hautement qualifiées et instruites ont également émigré, laissant le pays avec une pénurie de professionnels et d’experts dans divers domaines, notamment la médecine, l’ingénierie et les sciences.

Formation et opportunités professionnelles

Le système éducatif du Turkménistan a du mal à suivre l’évolution des demandes du marché du travail, ce qui a entraîné une inadéquation entre les compétences de la main-d’œuvre et les besoins des industries. Bien que le gouvernement ait réalisé des investissements importants dans l’éducation, la qualité de l’éducation reste faible et le programme est obsolète.

De plus, le manque d’opportunités professionnelles et les politiques autoritaires du gouvernement ont contraint de nombreux jeunes à quitter le pays à la recherche de meilleures opportunités. Le gouvernement a imposé des restrictions sur le type d’emplois auxquels les gens peuvent postuler, ce qui rend difficile pour les jeunes de poursuivre leurs aspirations professionnelles.

Malgré ces défis, certaines initiatives ont été prises pour résoudre le problème de la fuite des cerveaux et de la migration de main-d’œuvre. Le gouvernement a investi dans des programmes de formation professionnelle pour fournir aux personnes les compétences nécessaires pour trouver un emploi localement. En outre, le gouvernement s’efforce d’améliorer l’environnement des affaires pour attirer les investisseurs étrangers et créer davantage d’opportunités d’emploi.


Facteurs culturels

Le Kazakhstan est un pays doté d’un riche patrimoine culturel façonné par son mode de vie nomade et sa population diversifiée. Le mode de vie nomade traditionnel des Kazakhs est profondément ancré dans leur culture et a influencé de nombreux aspects de leur vie quotidienne, de leur cuisine à leur musique et leur art.

Mode de vie nomade traditionnel

La vie nomade est un mode de vie pour le peuple kazakh depuis des siècles. Les vastes steppes et déserts du Kazakhstan offrent aux tribus nomades suffisamment d’espace pour se déplacer et faire paître leur bétail. Ce mode de vie a créé une culture unique qui met l’accent sur l’hospitalité, le respect des aînés et un lien profond avec la nature.

L’un des symboles les plus emblématiques de la culture kazakhe est la yourte, une habitation portable faite de feutre et de bois. Ces structures sont conçues pour être facilement assemblées et démontées, ce qui les rend parfaites pour la vie nomade. La yourte est le centre de la vie familiale kazakhe, où les repas sont partagés, les histoires se racontent et les traditions se transmettent de génération en génération.

Restrictions sur l’expression publique

Malgré son riche héritage culturel, le Kazakhstan est un pays où le gouvernement exerce un contrôle strict sur l’expression publique. Le pays est dirigé par le même président depuis son indépendance de l’Union soviétique en 1991, et des lois strictes sont en vigueur qui restreignent la liberté d’expression et de réunion.

Le gouvernement censure fortement les médias, et il y a eu des cas où des journalistes et des militants ont été emprisonnés pour avoir dénoncé le gouvernement. Les plateformes de médias sociaux telles que Facebook et Twitter sont également surveillées de près, et il y a eu des cas où des utilisateurs ont été arrêtés pour avoir publié du contenu critique à l’égard du gouvernement.

Malgré ces restrictions, de nombreux artistes et écrivains kazakhs repoussent encore les limites de ce qui est acceptable dans leur société. Ils utilisent leur art comme forme d’expression et de critique, explorant souvent les thèmes de l’identité, de la politique et de la justice sociale.


Relations internationales

Les relations internationales constituent un aspect crucial du développement et de la croissance de tout pays. Dans cette section, nous explorerons les politiques isolationnistes du Turkménistan, ainsi que sa position en matière de neutralité et de non-alignement.

Isolationnisme

La politique étrangère du Turkménistan se caractérise par un isolationnisme, qui se reflète dans son engagement limité avec la communauté internationale. Le pays a été critiqué pour son manque de transparence et sa réticence à s’engager dans un dialogue international. Le Turkménistan a également été accusé de violer les droits de l’homme, de restreindre la liberté d’expression et de limiter l’accès à l’information.

Les politiques isolationnistes du pays ont eu un impact significatif sur son économie. La dépendance du Turkménistan à l’égard des exportations de gaz le rend vulnérable aux fluctuations du marché mondial de l’énergie. De plus, le manque de diversification du pays et son engagement limité auprès de la communauté internationale ont entravé sa croissance économique, rendant difficile pour le Turkménistan d’attirer les investissements étrangers.

Neutralité et non-alignement

La politique étrangère du Turkménistan se caractérise également par sa position en matière de neutralité et de non-alignement. Le pays a maintenu une position neutre dans les conflits internationaux et a refusé de prendre parti dans les conflits régionaux. Le Turkménistan a également refusé de rejoindre des alliances militaires telles que l’Organisation du Traité de sécurité collective (OTSC) et l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS).

La position du Turkménistan en matière de neutralité et de non-alignement est ancrée dans son désir de maintenir sa souveraineté et son indépendance. Cependant, cette politique a également limité la capacité du pays à s’engager dans la diplomatie internationale et a rendu difficile pour le Turkménistan de devenir un acteur majeur dans les affaires régionales.

Malgré sa politique isolationniste, le Turkménistan entretient des relations diplomatiques avec plusieurs pays. Le pays a joué un rôle actif au sein des Nations Unies et a signé de nombreux traités et accords internationaux. Le Turkménistan a également établi des relations diplomatiques avec plusieurs pays d’Europe, d’Asie et du Moyen-Orient.

En conclusion, la politique étrangère du Turkménistan se caractérise par l’isolationnisme, la neutralité et le non-alignement. Si ces politiques ont aidé le pays à maintenir sa souveraineté et son indépendance, elles ont également limité sa croissance économique et sa capacité à s’engager dans la diplomatie internationale. L’avenir du Turkménistan dépendra de sa capacité à trouver un équilibre entre son désir d’indépendance et son besoin d’engagement international.

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